2021-06-09 Déclaration de Jérusalem sur l’antisémitisme (DJA) ¶
- Introduction à la déclaration de Jérusalem sur l’antisémitisme
- Préambule à la Déclaration de Jérusalem
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Lignes directrices de la déclation de Jérusalem sur l’antisémitisme
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A. Généralités (lignes directrices générales 1 à 5)
- 1. L’essentialisation
- 2. L’idée que les juifs entretiennent un lien particulier avec les forces du mal caractérise l’antisémitisme “classique”
- 3. Les mots, les images et les actes peuvent servir de véhicule à l’antisémitisme
- 4. L’antisémitisme peut être direct ou indirect, explicite ou codé
- 5. Nier ou minimiser l’Holocauste
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B. Israël et la Palestine : quelques exemples relevant, a priori, de l’antisémitisme
- 6. Appliquer les symboles, les images et les stéréotypes négatifs de l’antisémitisme classique
- 7. Tenir les juifs collectivement responsables de la conduite d’Israël
- 8. Exiger des gens, parce qu’ils sont juifs, qu’ils condamnent publiquement Israël
- 9. Faire l’hypothèse que les juifs citoyens d’autres pays sont plus loyaux vis-à-vis d’Israël que de leur propre pays
- 10. Refuser le droit des juifs de l’État d’Israël à exister
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C. Israël et la Palestine : quelques exemples ne relevant pas, a priori, de l’antisémitisme
- 11. Soutenir l’exigence de justice du peuple palestinien
- 12. Critiquer le sionisme ou s’y opposer, en tant que forme de nationalisme
- 13. Critiquer Israël en tant qu’État, en s’appuyant sur des faits
- 14. Les mesures de boycott, de désinvestissement et de sanction
- 15. Il n’y a nulle nécessité qu’un discours politique soit mesuré, proportionné, modéré ou raisonnable, pour être protégé
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A. Généralités (lignes directrices générales 1 à 5)
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FAQ déclation de Jérusalem sur l’antisémitisme
- Qu’est-ce que la Déclaration de Jérusalem sur l’antisémitisme (DJA) ?
- Qui sont les auteurs de la DJA ?
- Pourquoi l’intitulé de la DJA contient-il le terme “Jérusalem” ?
- Pourquoi la DJA est-elle publiée maintenant (2021) ?
- La DJA vise-t-elle à incarner une solution de remplacement à la définition de travail de l’IHRA ?
- Quelle est la portée de la DJA ?
- La DJA devrait-elle être officiellement adoptée, notamment par des gouvernements, par des partis politiques ou par des universités ?
- La DJA pourrait-elle s’intégrer à un code plus général sur les “discours haineux” ?
- La DJA mettra-t-elle fin à toutes les controverses actuelles sur ce qui est ou ce qui n’est pas antisémite ?
- Pourquoi 10 des 15 lignes directrices de la DJA concernent-elles Israël et la Palestine ?
- Qu’en est-il de l’application de la DJA à des contextes autres qu’Israël et la Palestine ?
- La DJA fait-elle une distinction entre l’antisionisme et l’antisémitisme ?
- Dans ce cas, la DJA suggère-t-elle que l’antisionisme n’est jamais antisémite ?
- Quel est le programme politique sous-jacent de la DJA, en ce qui concerne Israël et la Palestine ?
- Mais, la ligne directrice 14 ne soutient-elle pas le mouvement BDS en tant que stratégie ou tactique dirigée contre Israël ?
- Alors, comment peut-on déterminer si une mesure de type BDS ou de tout autre type est antisémite ?
- La ligne directrice 10 dit qu’il est antisémite de “refuser le droit des juifs de l’État d’Israël à exister et à s’épanouir, collectivement et individuellement, en tant que juifs”. Les lignes directrices 12 et 13 ne s’inscrivent-elles pas en contradiction avec cet énoncé ?
- Quels sont, en bref, les avantages de la DJA par rapport à la définition de l’IHRA ?